"Les activistes sont parfois sont tellement occupés et débordés que personne ne documente ce qu'ils font. Alors je le fais".

Lors du Summit 2020, l'artiste Andrea Bowers a partagé son travail sur le changement climatique, un des fils rouges de sa pratique artistique, et qui a commencé avec un “tree-sitting” pour la sauvegarde d'un chêne de 400 ans. Elle a également rejoint les Sioux de Standing Rock pour les aider à protéger leurs terres contre le gazoduc de Dakota Access Pipeline (début 2016 à février 2017). Cette action continue d'inspirer, de transformer et d'influencer son travail. 

Andrea a ensuite documenté cette histoire à travers un film où elle parateg également le point de vue de la jeune militante Tokata Iron Eyes, qui nous emmène sur ses sites sacrés. Dans la langue siouane, "Tokata" signifie "Avenir" et cette jeune fille de seize ans a clairement des opinions tranchées à ce sujet : "Pouvoir construire un nouveau système qui englobe les aspects modernes de ce monde et les anciens enseignements importants de nos ancêtres, c'est le genre de système dont l’humanité a besoin pour pouvoir commencer à vraiment nous développer en tant que personnes avec nos émotions, nos sentiments et nos rêves". Elle poursuit : "Même dans les pires moments, il y aura une possibilité de faire quelque chose de mieux.  Et ce sera réel, et tout ce qu'il faut, c'est que nous fassions notre part". Andrea continue à documenter les activistes, essayant de trouver de l'espoir au sein de l'éco-deuil. 

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Regardez le dernier film d'Andrea ici.